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Il est constitué de deux témoignages distincts sur cette jeune fille morte en 1995 dans un accident au Mexique, et qui, depuis l’au-delà, continue apparemment de communiquer avec les vivants.

D’abord le récit de Didier van Cauwelaert, intitulé « L’amie de l’autre monde » dans lequel il relate sa rencontre avec les parents de Karine, les rapports ahurissants qu’il a noués avec le fantôme particulièrement facétieux de cette jeune fille et les nombreuses expériences sous contrôle scientifique auxquelles il a assisté (messages reçus par magnétophone, ordinateur, matérialisations d’objets et de corps en mouvements…) Après la recherche de tous les « trucages » possibles, ces événements l’ont amené à s’interroger avec autant d’humour que de rigueur sur la survie de l’esprit, la puissance des hallucinations collectives ou l’incroyable pouvoir du cerveau humain, qui serait peut-être capable, par la seule concentration, de créer des sons, des images et de la matière.

Dans le second témoignage, l’envol du papillon, Yvon et Maryvonne Dray, nous retracent l’existence de Karine, « la joie de vivre » incarnée, racontent le drame qui a bouleversé leur vie, puis l’incrédulité, l’espoir, les certitudes et le bonheur que les manifestations incessantes de leur fille ont suscité en eux.

L’œuvre de Didier van Cauwelaert a souvent exploré de façon jubilatoire les rapports entre la science et le paranormal, comme l’a montré son best-seller L’apparition. C’est d’ailleurs lors de son voyage à Mexico pour la préparation de ce roman, qu’il a rencontré Yvon et Maryvonne Dray, cadres français d’Alcatel travaillant au Mexique… ainsi que leur fille, Karine, décédée cinq ans plus tôt.

Lorsqu'on lit un livre sans s'arrêter du début jusqu'à la fin c'est
soit qu'il est écrit avec beaucoup de talent,soit que le sujet vous
passionne ,soit qu'il s'y trouve tant de vérité qu'il ne peut que vous
émouvoir,ces livres là sont rares et on est triste de les terminer:le
votre "Karine après la vie"possède tout cela et fait partie des livres
qui vous changent et que l'on n'oublie pas.
J'avais vraiment envie de vous le dire et votre adresse e-mail
à la fin du livre m'y encourage.
Bravo et surtout merci pour ce beau cadeau ,
Très sincèrement ,
Ines de la Fressange
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Commentaire de MARIE FUGAIN dans son livre "Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais..." Pourtant Laurette était ma soeur - Michel Lafon 2012 - page 227/228

"Nous avons la perception que nous acceptons de nous accorder. Ni plus ni moins. Un des livres qui ont changé mon existence est celui qu'a présenté Didier van Cauwelaert, KARINE APRES LA VIE. Ce livre est un témoignage magnifique de ce que des parents, amis de l'auteur, ont vécu après la mort de leur fille de vingt et un an. Des signes qu'elle leur envoie. Cet ouvrage m'a ouvert la porte d'un monde que je n'imaginais absolument pas. Je ne savais pas qu'il existait une telle possibilité et surtout, étant la cousine par alliance de saint Thomas, je criais haut et fort que je devais voir pour croire.

Comme l'a dit un jour Socrate d'après son disciple Platon, "Je sais que je ne sais rien"...

"Je viens de terminer le livre et je suis très émue et très joyeuse. Je suis déjà consciente, depuis longtemps, qu'il existe une vie après la mort, la mort n'est qu'un passage. J'ai lu d'autres auteurs sur le sujet. Mais ce témoignage là est particulièrement bouleversant. J'ai eu la chair de poule à de nombreuses reprises, j'ai ri (Didier Van Cauwelaert a un humour qui fait du bien) et j'ai souri aux facéties de Karine, j'ai pleuré aussi. Cette jeune femme et sa famille sont très attachants. Je suis née presque le même jour qu'elle et j'admire l'amour, le courage et la foi qu'ils ont eu tous les trois pour parvenir à communiquer depuis son accident. Les messages venus de Karine via l'écriture automatique sont d'une simplicité, d'une profondeur et d'une beauté stupéfiantes. Ses parents retracent factuellement et partagent avec beaucoup d'honnêteté et de générosité leur expérience.

La préface de Didier Van Cauwelaert est elle aussi superbe et elle apporte beaucoup de crédit au témoignage de M. et Mme Dray. DVC est un romancier, prix Goncourt notamment, qui a les pieds sur terre et s'intéresse à toutes les recherches scientifiques. J'aime ce mélange cartésien et spirituel. J'aime quand il parle de sa sainte trinité à lui: intelligence, humour et amour.

J'ai bien sûr repensé à tous mes chers disparus et je viens d'envoyer un exemplaire du livre à mes proches, en espérant que nos deuils communs en seront allégés. Je n'ai plus envie de pleurer mes êtres chers, je veux célébrer leur passage. J'ai envie de recopier ici la magnifique phrase de Monique Simonet, adressée aux parents de Karine (page 161 de la version brochée): "Il ne me reste qu'à souhaiter que vous puissiez continuer ainsi ce grand travail, au sein de votre association, afin de diffuser la merveilleuse nouvelle que la mort n'est pas une fin mais le commencement d'une vie largement supérieure, que la mort est en réalité une prodigieuse mutation."

Puissent les informations, les recherches, continuer à circuler et toucher un public de plus en plus large, pour éveiller les consciences et abolir ici-bas la peur de la mort, qui est la cause de beaucoup de souffrances. Alors que nous devrions nous rejouir d'être en train de préparer l'envol du papillon.

Lorsque que l'on perd un être cher , on a envie de savoir...
Le récit de cette maman qui perd tout en perdant sa fille est poignant, on ressent sa douleur, son désespoir puis au fil des pages l'espoir nait, Karine se manifeste, est là; on comprend beaucoup de choses, que la vie n'est qu'un passage, que la vie est importante, qu'il faut être positif , de bien la vivre en faisant des actes positifs. Surtout elle nous apprend qu'il ne faut pas avoir peur de la mort, c'est une autre forme "d'existence". Karine explique à sa maman les conséquences des mauvais actes que nous faisons presque tous ici bas, on apprend aussi que notre peine, notre douleur est difficilement "vivable" pour les âmes. Le livre est très bien écrit et je sais qu'il peut redonner l'espoir aux personnes ayant perdu quelqu'un, il m'a apaisé.

10/10
Bouleversant Maryline.O, Châtillon (92) France, le 7 février 2004 Témoignage bouleversant, sincère et plein d'amour de parents pour leur fille partie, envolée tel un papillon pour l'autre vie un jour de décembre 1995. Karine de l'autre côté de "notre" monde soulève le voile et nous laisse à travers ces témoignages un sentiment d'ESPOIR ...La vie après la vie nous devrions tous nous y préparer ici-bas...Le doute qui nous habite en début de lecture laisse la place à un sentiment de certitude ...C'est un magnifique témoignagne. Merci joli papillon.

10/10
Impressionnant... Un internaute, Lieusaint, France, le 18 janvier 2004 Je suis en train de le lire, je suis captivée, j'ai toujours pensé qu'il y avait une vie après la mort, là nous avons le témoignage de la jeune Karine décédée prématurément à l'âge de 21 ans.